Quelques clés avant de démarrer avec VITAM

Un projet mutualisé…

Le programme VITAM est un programme interministériel regroupant trois ministères – Affaires étrangères et Développement international, Culture et Armées – et visant à développer une solution logicielle d’archivage électronique conforme à l’état de l’art et capable de gérer de fortes volumétries de données, potentiellement hétérogènes, tout en garantissant une montée en charge satisfaisante. Pour ce faire, le produit repose sur les technologies du big data.

…pour développer un logiciel…

VITAM est donc un logiciel qu’il est nécessaire de déployer dans son propre contexte. Il faut également préciser qu’il s’agit d’un back office, soit un système qui n’est pas directement utilisable par les utilisateurs métier finaux. Le produit est néanmoins livré avec des interfaces de démonstration qui permettent d’interagir avec le système mais qui sont loin de refléter sa richesse. Ce point est capital si vous souhaitez déployer VITAM dans votre organisation car il conviendra de réfléchir au développement d’une application frontal qui vous soit adaptée pour gérer les interactions entre les utilisateurs et votre système d’archivage.

…interopérable sur la base du SEDA 2.1

S’agissant de la question de l’interopérabilité -des entrées et des sorties de et vers d’autres applications du système d’information- le standard d’échange de données pour l’archivage (SEDA) dans sa version 2.1 est implémenté par VITAM. Son modèle de données est de ce fait assez adhérent de celui du standard d’échange. Si l’on ne s’intéresse qu’à ses concepts fonctionnels, le SEDA est très largement inspiré d’autres normes de description archivistiques et s’adresse donc autant aux archivistes qu’aux informaticiens comme nous le verrons dans un prochain cycle de billets sur ce sujet.

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