Bâtir un service d’archivage numérique sur la solution VITAM

Ce billet vient conclure le premier cycle VITAM publié sur Le Blog. Nous aborderons ultérieurement des questions plus techniques sur des points précis de la solution.

Comme on l’aura compris à la lecture des différents billets du cycle, VITAM est une solution qui permet de mettre en oeuvre l’intégralité des exigences prévues par la norme NF Z 42-013. C’est aussi un produit qui offre de nombreuses possibilités d’implémentation : déployer VITAM dans son contexte va donc impliquer de définir précisément ses besoins et de faire des choix d’implémentation répondant à ces besoins. Quelle que soit la méthodologie de projet retenue (agilité, itératif, cycle en V…), la définition des spécifications est donc ici particulièrement cruciale.

N’oublions pas également que l’archivage numérique est un service qui requiert certes la mise en oeuvre d’une solution logicielle et d’infrastructures adéquates, mais également, et surtout, des processus métier et une organisation humaine adéquate. Penser un projet d’archivage numérique, c’est donc aussi réfléchir à ces processus et aux changements organisationnels à conduire, ces deux aspects pouvant fortement varier d’une implémentation à l’autre.

Enfin, le déploiement d’une solution comme VITAM doit aussi être pensé dans le contexte global du système d’information. Pour éviter de créer une coquille vide, il est indispensable d’imaginer dès le démarrage du projet les modalités de versement (connecteur, génération de bordereaux SEDA et de profils d’archivage, préparation manuelle de certains versements…) et d’accès (via un applicatif métier, via une interface dédiée, via un autre système d’information archivistique…).

Sur l’ensemble de ces aspects, mintika est à même de vous accompagner et de mettre à votre service notre très bonne connaissance fonctionnelle et technique de la solution, n’hésitez pas à nous contacter via le lien en bas de page !

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